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48 heures plus tard

Même après 18 heures de voyage, j’ai dû me retenir pour ne pas faire une petite danse devant l’officier d’immigration et crier « Saluuuut les mecs, me revoilà !! ». A la place, j’ai donné mon passeport, et fait mon meilleur sourire en disant « selamat pagi ».

Même si ça a été l’un des pires voyages, c’est si bon de se sentir arrivée (un long courrier de jour avec le siège du milieu de la rangée : plus jamais !!)

Le premier après-midi a été consacré à des courses à Sanur pour s’occuper de quelques trucs importants, et se préparer à prendre le premier bateau pour Lembongan le lendemain matin. Sanur était bruyante comme dans mon souvenir, le dîner au marché de nuit était aussi bon que dans mon souvenir, et le premier « sate ayam » avait un petit goût de paradis.


Le lendemain matin, après un réveil trèèès matinal grâce au décalage horaire, nous avons pris le premier bateau pour Lembongan. Mon compagnon de voyage et de plongée ne m’a pas bâillonnée mais je suppose que mon excitation était un peu pénible. Et finalement, me revoilà là où tout ceci a commencé. Descendre de ce bateau était un peu comme arriver à la maison, d’une certaine manière. L’odeur des algues qui sèchent et des ordures qui brûlent, la chaleur, la nourriture, les visages familiers…

Hier soir je me suis endormie bercée par le chant qui venait du temple, ce matin (une fois de plus à 4 heures) je me suis réveillée au son des vagues s’écrasant sur la plage. Je me suis préparée pour ma première plongée de 2013 après un café balinais délicieux.


Voici à quoi ressemblait la plage ce matin à 6 heures.

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